Sur le site de Gendinfo, deux articles ont été diffusés fin septembre. La première partie dresse un état des lieux objectif du phénomène des infractions liées aux déchets et relevant de la délinquance organisée et met en lumière les responsabilités juridiques ainsi que le cadre réglementaire encadrant la gestion des déchets. La deuxième partie met en évidence les leviers juridiques, opérationnels et technologiques mobilisés pour lutter contre un fléau qui ne connaît pas de frontières.
Extrait : « Lorsque ce sont des riverains qui installent eux-mêmes des caméras sur leur terrain, leurs images peuvent devenir des preuves judiciaires. Sous réserve d’une réquisition judiciaire, les forces de l’ordre peuvent saisir ces images et s’en servir pour établir la responsabilité d’un ou plusieurs individus. Ici, la loi protège à la fois la propriété privée et l’intérêt général : filmer depuis chez soi n’est pas un délit et peut même contribuer à la justice, à condition de respecter les règles de la procédure pénale ».